L’amélioration des capacités de cyber-résilence contribue à réduire les risques. Mais le niveau de maturité de la cyberrésilience d’une organisation contribue-t-il également à favoriser l’innovation et à améliorer la réussite de l’entreprise ?
Pour répondre à cette question, ESG a interrogé 750 décideurs IT, puis segmenté les participants en étapes de cyberrésilience (voir graphique à droite). Cette classification a été motivée par les réponses des personnes interrogées à quatre questions sur leur organisation. Chacune de ces questions concerne une caractéristique des organisations « préparées » (c’est-à-dire un attribut des organisations hautement résilientes) sur les équipes chargées de la protection de l’entreprise, le financement des technologies d’atténuation des risques ou l’importance accordée à la réduction des risques tiers.